Le 1er juin, Journée internationale de l’enfant, est célébré de par le monde. Comme de nombreux pays, l’Algérie considère cette journée comme un événement majeur dans l’année. Pour protéger l’enfant, l’humanité s’est dotée d’une convention que l’Algérie, à l’instar de presque tous les pays, a ratifiée. Le droit de l’enfant à une vie décente est universellement reconnu comme un droit fondamental auquel s’ajoutent ceux ayant trait à l’éducation, à la santé et à l’accès à la culture. Pourtant au seuil du IIIe millénaire, la malnutrition, les maladies infectieuses, l’implication des enfants dans les guerres et les conflits et leur exploitation sexuelle et économique continuent à être des problèmes importants qui, ici et là, font de milliers d’enfants des êtres à l’avenir incertain. Cette situation est inacceptable. Elle incite à plus de vigilance et de mobilisation des gouvernements, des sociétés civiles et de tous autour d’actions et de programmes concrets de développement et de lutte contre les fléaux qui menacent l’enfance. L’Algérie, comme beaucoup de pays, est soucieuse du respect des droits de tous ses enfants. Elle a mis en oeuvre de nombreux programmes dont la vocation est de susciter une dynamique d’entraide et d’activer les gisements de solidarité à l’endroit des enfants blessés par la vie, fragilisés, issus de familles démunies ou victimes de violences.